750 grammes
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4 avril 2020 6 04 /04 /avril /2020 15:01

Alors que les ventes dans les magasins d'alcool en augmenté de 86% la semaine dernière, en raison des craintes de pénurie liées à l'épidémie de Covid-19, des mesures de restriction ont été prises.

 

Maximum 12 bouteilles de vin et deux packs de 24 bières... Telles sont les restrictions à la vente décidées mardi 31 mars par l'association australienne des magasins d'alcool pour remédier à une razzia dans les rayonnages en raison d'une crainte de pénurie du fait de l'épidémie de Covid-19.

 

Les Australiens se sont rués sur les magasins d'alcool en raison de l'annonce de la fermeture des commerces dits "non essentiels", parmi lesquels les bars, pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus. "Il est évident que les incertitudes sur les approvisionnements (...) en ont poussé certains à acheter différemment", a déclaré dans un communiqué annonçant les restrictions Julie Ryan, directrice générale de Retail Drinks, l'association professionnelle des vendeurs d'alcool.

« Australie, pas plus de douze bouteilles de vin à la fois ! »

Ces "restrictions" prévoient qu'un client ne pourra ressortir d'un magasin avec, par exemple, plus de 12 bouteilles de vin et deux packs de 24 bières, ou avec plus de 10 litres de vin en cubis et deux litres de spiritueux.

Les réseaux sociaux en Australie ont été inondés de vidéo de clients poussant des chariots débordant d'alcool. "Nous voulons adresser le message clair selon lequel les magasins de bouteilles demeurent un service essentiel et qu'il n'y aura pas de problème d'approvisionnement".

 

Des chiffres dévoilés par la Commonwealth Bank, une des plus grandes institutions financières du pays, ont montré que les dépenses en alcool dans les magasins d'alcool avaient augmenté de 86% la semaine dernière. "Ces mesures temporaires vont permettre à tous les clients d'avoir accès à leurs boissons favorites quand ils le décideront", a déclaré Mme Ryan.

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31 mars 2020 2 31 /03 /mars /2020 10:36

Le sous-titre de cet ouvrage "qu'en pensent les médecins ?" est explicite car le problème est simple.

En ce qui concerne le vin et, au-delà, l’alcool, seuls les responsables politiques s’expriment, vitupèrent, décident, condamnent, portés par la certitude des ignorants. Il est si facile de se draper dans la tunique d’Auguste et de fustiger le jeune imbécile devenu assassin, ivre mort à son volant.

 

On généralise. Du coup, on inculpe le vin, on invente un slogan inepte : “Un verre de vin = un cancer”. Face à la déferlante du n’importe quoi, le docteur Marc Lagrange a sollicité le concours d’une quinzaine de confrères pour faire le point.

Un médecin défend le vin dans un livre

Ce livre salvateur commence par Médecine et antiquité car l’eau “bactérisée” a tué bien plus d’êtres humains que le vin et les eaux-de-vie qui furent d’abord des médicaments. Sont également abordés la prévention, la loi Évin, l’État qui n’a pas évalué ses résultats, comme prévu, un an après sa promulgation, ou encore grossesse et pédiatrie où l’usage du vin est interdit, le placenta étant perméable à l’alcool.

 

Une dernière partie, qui ne se résume pas, est consacrée au cœur et à la digestion. Si les consommations déraisonnables sont défavorables, celles dites “intelligentes” sont à plusieurs titres recommandées (effets antioxydants, french paradox, etc.).

Terminons avec Paracelse : "Tout est poison, rien n’est poison, la dose seule fait que quelque chose n’est pas poison".

 

Vin et santé : qu’en pensent les médecins ?

Du Dr Marc Lagrange. 192 p. 39 €
Éditions France Agricole.

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4 mars 2020 3 04 /03 /mars /2020 10:16

La France a-t-elle raison d'appliquer des repères de consommation uniformes aux hommes et aux femmes ?

Depuis 2017, Santé Publique France (qui dépend du ministère de la Santé) délivre de nouveaux repères de consommation d’alcool beaucoup plus sévères que ceux de l’OMS, établis en 2000. À savoir 2 verres par jour maximum pour les femmes, 3 pour les hommes et 4 maximum en une occasion. 2, 3, 4. La règle est simple à assimiler. 

 

Mais depuis 2017, la France impose une nouvelle règle, où les quantités sont les mêmes pour les femmes et les hommes, soit 2 verres maximum par jour, pas plus de 10 verres par semaine et 2 jours d’abstinence par semaine.

 

Sachant que la corpulence entre hommes et femmes n’est pas la même et donc que l’alcool n’a pas le même impact, pourquoi des règles identiques ? Aucune étude scientifique ne met sur le même plan homme et femme.

« Deux verres d'alcool maximum pour éviter tout sexisme !! »

En fait pour comprendre cette méthode, il faut décortiquer les avis d’experts dans un rapport de 2017, établi par Santé Publique France et l’Institut National du Cancer (l’Inca), visant à renouveler le discours de prévention contre l’alcool, pour trouver cette justification à la page 13 : "Si on observe scientifiquement des différences quant au risque absolu entre femmes et hommes, la distinction selon le genre peut provoquer des interrogations avec en arrière-plan un éventuel soupçon de sexisme ou d’obstacle à l’émancipation des femmes". 

 

On appréciera cette élégance vis-à-vis du genre féminin, mais alors pourquoi ne pas appliquer ce même principe à tous les risques ? Les huit membres de ce collège d’experts qui comptait quatre épidémiologistes ont dû avoir les arguments scientifiques pour l’imposer comme repère unisexe à toute la population.

 

(Source AFP)

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11 février 2020 2 11 /02 /février /2020 08:46

Depuis son ouverture en 2016, la Cité du vin à Bordeaux a accueilli plus d'1,5 million de visiteurs, dont 416.000 l'année dernière.

 

En progression, la part des étrangers a doublé en un an et représentait, en 2019, 46% des visiteurs avec en tête les Britanniques, les Espagnols (en hausse de 41 %), les Américains, les Italiens (+50 %) et les Allemands.

« 1,5 million de visiteurs à la Cité du vin depuis son ouverture »

Outre son parcours permanent, la Cité du vin propose des ateliers, conférences scientifiques, débats et rencontres avec des grands noms du vin, des événements privés et deux expositions temporaires, dont la prochaine "Boire avec les dieux" aura lieu du 10 avril au 30 août 2020

 

(Source AFP)

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3 février 2020 1 03 /02 /février /2020 15:50

Au cœur de la Côte des Blancs, haut-lieu marnais du champagne, Le-Mesnil-sur-Oger accueillera le 8 mars une nouvelle édition du Mondial de la capsule et du vin.

 

Créé en 2007 par un brocanteur d'Athis, près d'Épernay, cette biennale rassemble les placomusophiles, soit les collectionneurs de plaques de muselet ou capsules, pièce d'acier qui empêche les bouchons des bouteilles de boissons effervescentes de sauter inopinément.

« Le Mondial de la capsule, de la vigne et du vin attire des milliers de passionnés »

Les dernières éditions avaient réuni entre 5.000 et 6.000 passionnés. Deux espaces sont proposés avec une bourse d'échanges sur la base du troc et un espace vente qui regroupe 200 exposants de capsules et une trentaine présentant des outils et objets connexes au champagne (étiquettes, outils anciens, créations artisanales ou objets publicitaires).

 

Véritable outil de marketing, la plaque de muselet est aussi devenue depuis plus de deux décennies l'objet d'un marché très actif. Environ 75.000 capsules de champagne sont recensées dont certaines, les plus anciennes ou les séries limitées, peuvent atteindre plusieurs centaines d'euros.

 

Pour plus d'informations : www.mondialdelacapsule.com

 

(Source AFP)

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27 janvier 2020 1 27 /01 /janvier /2020 15:22

Les producteurs de vins de Bordeaux appellent l'État à l'aide après avoir accusé en novembre une baisse de 46% en valeur de leurs ventes aux États-Unis, deuxième marché à l'export, une conséquence de l'instauration en octobre d'une taxe américaine liée au conflit Airbus/Boeing.

 

 

"Nous avons les premiers chiffres : en novembre, c'est moins 46% du chiffre d'affaires aux États-Unis (-24% en volume) par rapport à 2018. Les mois de décembre, janvier seront probablement du même acabit", a annoncé jeudi le président du Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), Bernard Farges.

« Les ventes de vin de Bordeaux s'effondrent aux États-Unis »

"C'est une taxe des vins français pour compenser une erreur des pays européens qui ont subventionné Airbus. Nous sommes une victime collatérale", a-t-il accusé, jugeant les conséquences "désastreuses".

 

Cette taxe de 25% touche essentiellement les vins non pétillants de moins de 14 degrés d'alcool, soit des exportations françaises vers les États-Unis représentant un milliard d'euros en 2018, dont 298 millions d'euros à Bordeaux.

Au niveau national, une baisse de 15% des volumes vendus aux États-Unis, premier marché d'exportation, et de 21% en valeur a été enregistrée en novembre.

 

Et la profession s'inquiète aussi des menaces de représailles américaines si la France décidait finalement de taxer les grandes entreprises du numérique à hauteur de 3% de leur chiffre d'affaires. Paris a décidé pour l'instant de reporter cette mesure mais "c'est un report, ça ne règle en rien ce qui est en cours depuis le 18 octobre. Nous demandons à l’État français, qui a fait un choix industriel que nous ne jugeons pas, un fonds de compensation financière pour maintenir le flux commercial", a déclaré M. Farges.

« Les ventes de vin de Bordeaux s'effondrent aux États-Unis »

 

Les vins de Bordeaux perdent des marchés depuis 2018 avec une baisse des ventes de 15%, alimentée par des conditions climatiques défavorables, en particulier avec le gel de 2017, un marché chinois - le premier à l'export - en régression et des inquiétudes liées au Brexit.

 

(Source AFP)

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